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ROLEX MONTE-CARLO MASTERS


April 17, 2022


Zeljko Franulovic


Principauté de Monaco

Conférence de presse


Conférence de presse de ZELJKO FRANULOVIC

En ce dimanche pascal, je suis très heureux de vous accueillir à l’occasion des 125 ans de notre tournoi. Une année anniversaire à la saveur particulière. Avec tout d’abord le retour du public après deux ans d’absence. Quel plaisir de constater que nous avons joué à guichet fermé depuis mercredi. Nous avons accueilli au total 132.500 spectateurs.

Les matches se sont déroulés devant des tribunes combles et par une météo printanière clémente. Les spectateurs ont pu vibrer tout au long de la semaine avec des matches très disputés, souvent d’une grande intensité. A l’image de cette journée historique vendredi pour les quarts de finales. Quatre rencontres et douze heures de tennis non-stop sur le Court Rainier III avec de fervents spectateurs restés jusque tard dans la nuit pour soutenir les joueurs dans une ambiance survoltée. Depuis l’ère Open, c’est la première fois que l’ensemble des quarts de finale se sont disputés au meilleur des trois sets.

Ces rencontres ont vu l’émergence ou la confirmation de nouveaux talents.

Je pense notamment :

- au Monégasque Lucas Catarina, auteur d’une belle performance au premier tour face à Taylor Fritz qui confirme qu’il a toutes les armes pour faire jeu égal avec les meilleurs mondiaux.

- aux jeunes Italiens Lorenzo Musetti et Jannik Sinner qui ont fait vibrer un public italien très présent puisqu’il représente 35% de la fréquentation totale.

- ou encore au jeune finaliste Alejandro Davidovich Fokina, qui à vrai dire n’était pas l’Espagnol que nous attendions en finale, mais qui après sa victoire face à Novak Djokovic a réussi à maintenir un excellent niveau de jeu.

Une édition réussie et marquée par l’arrivée de trois nouveaux partenaires, Generali, Maserati et Replay aux côtés de nouveaux fidèles partenaires à l’instar de Sergio Tacchini, Adecco, Emirates et Moët Hennessy. L’occasion aussi de rappeler que Rolex a reconduit son partenariat pour les 10 prochaines années et BNP Paribas pour 3 ans supplémentaires.

Des partenaires prestigieux qui participent au rayonnement du tournoi et à l’animation du village VIP avec la présence de personnalités de renom. Parmi lesquelles, les footballeurs Neymar et Verratti, le pilote de F1 Charles Leclerc, le nageur Florent Manaudou et les basketteurs de la Roca Team.

Monaco a vibré toute la semaine avec le tournoi. Plus de 850 personnes sont impliqués dans l’organisation. A cela s’ajoute, 80 ramasseurs de balles, recrutés au sein du Monte-Carlo Country Club et des clubs de la région, qui complètent l’effectif lié à la compétition. Enfin 300 personnes sont employées pour la restauration.

Pour célébrer le retour du public, le tennis s’est même invité sur la place du Casino de Monte-Carlo. Les fans ont pu assister à un tie-break entre Novak Djokovic, double vainqueur du Rolex Monte-Carlo Masters, et Stan Wawrinka, vainqueur sur la terre monégasque en 2014.

Et maintenant, avant de laisser la place à une finale inédite entre l’étonnant Espagnol Alejandro Davidovich Fokina et le tenant du titre Stefanos Tsitsipas, je cède la parole à André Vatrican et Sonny Folchery, de la direction de la communication, grands organisateurs du traditionnel tournoi de la presse qui a vu s’affronter en finale, sur le court des Princes Laurent Orsini de Monaco info et Franck Triviaux de Canal+. Nous leur remettrons leurs trophées après vos questions.

Merci Diane.

Q. (Anglais) Tout d’abord, merci beaucoup. Félicitations. Vous avez été modeste. Vous n’avez rien dit sur le fait que vous avez commencé en tant que Directeur du Tournoi en 2005, pour 18 ans, en même temps qu’est arrivé Nadal. J’aimerais savoir s’il y a quelque chose de nouveau à votre sujet, ou au sujet du Tournoi ?

R. (anglais) Quelle surprise ! Ubaldo pose la première question ! Cela fait partie de la tradition de ce tournoi. Ubaldo, questions prestigieuses ! Cela fait 17 ans en effet. 17 ans de services dévoués. Une organisation passionnée, où j’étais à la tête du Tournoi. Vous avez raison, j’ai commencé en même temps que Nadal. Cette année, quelque chose n’a pas tourné rond, parce que Nadal s’est retiré du tournoi. Cela ne veut pas dire que je me retire avec lui, mais symboliquement, oui, car c’est mon dernier Tournoi. Vu l’avez peut-être lu dans le Quotidien. Après 17 ans, j’ai pensé que le moment était venu pour passer à autre chose et de laisser d’autres personnes diriger le Tournoi. Je peux simplement dire que je laisse le Tournoi entre de bonnes mains. Je pense que ce n’est pas à moi de dire que le Tournoi a été une réussite toutes ces années, nous avons fait beaucoup de progrès, nous n’avons jamais cessé de grandir, de construire. A un moment donné, vu que notre site est limité, nous allons cesser de construire, mais nous n’allons pas cesser de nous améliorer. Comme je l’ai dit l’autre jour, des progrès peuvent encore être faits. Surtout dans le secteur des Médias, avec les nouvelles technologies, retransmissions en direct, médias sociaux, etc. etc.

Q. (anglais) Je voulais simplement vous dire merci.

R. (anglais) Merci.

Applaudissements.

Q. (français) Une question sur la salle d’interview en haut ?

R. Oui, nous essayons de faire plaisir à tout le monde. En premier, aux joueurs, et en deuxième et troisième, les médias et le public, l’ATP, la Télévision. Et je pense que nous avons satisfait beaucoup de monde. Nous avons fait beaucoup de choses.

Q. (anglais) Monsieur le Directeur, merci pour vos loyaux services pendant les 17 dernières années. Y aurait-il une anecdote que vous aimeriez partager avec nous sur cette période ?

R. (Anglais) Une anecdote ? Je vais peut-être me répéter, mais il y en tant… J’aimerais bien en avoir une avec Novak qui aurait marqué le tournoi, mais avec lui, il n’y a pas d’anecdote. Nous avons la relation la plus amicale qui soit avec un joueur. Je vais vous raconter la même anecdote, car vous ne l’avez visiblement pas lue. C’est sur notre Exhibition de Mini Tennis sur la Place du Casino, que j’ai poussée et inventée en 2006. Nous avions Federer et Nadal qui devaient jouer, et l’autre était sur la Place du Palais. Les deux fois, personne ne s’en est vraiment aperçu, mais une anecdote s’est produite. Nous sommes arrivés sur la Place du Casino avec Federer et Nadal pleins d’enthousiasme, le public était nombreux pour cette première fois, devant le Louis XV, la terrasse était remplie de célébrités. Les joueurs sont arrivés dans une voiture Vintage dont je n’imagine pas le prix. Le moment est venu de jouer, mais le problème est que Nadal n’avait pas de raquettes ! J’ai dit à Roger de parler aux enfants, de signer quelques autographes… L’agent de Rafa est parti à toute allure en scooter pour aller chercher les raquettes au Monte Carlo Bay, ce qui n’est pas si loin. Pourtant, cela m’a paru une éternité. Il est revenu avec les raquettes et personne ne s’est aperçu de rien. Comment peut-on faire deux fois la même erreur ? Et bien, c’est arrivé. Nous étions devant le Palais cette fois-ci. Andy Murray, et Rafa encore une fois, devaient jouer. Nous avions même construit une tribune pour vous, la presse, ce qui donnait d’autant plus d’importance à l’événement. Nous étions là, remplis de nous-mêmes, pour la première fois devant le Palais. Monseigneur était là, Son Altesse Sérénissime, notre cher supporteur, le plus fervent. Nous attendions, mais rien ne se passait. Nous avions oublié les balles cette fois-ci ! Il n’y pas de magasin de sport à côté du Palais, que faire ? Sauvé encore une fois par le gong et par Monseigneur qui a couru vers le Palais pour nous rapporter une boite de balles. Deux anecdotes qui sont drôles, mais nous nous sommes sentis un peu gênés quand même. Tout s’est bien terminé. Merci.

Q. (anglais) Je voudrais savoir si vous regrettez que les ordinateurs de l’ATP n’aient commencé à fonctionner que trois ans après votre victoire à Monte Carlo, votre finale à Roland Garros ? Vous auriez dû être N°6 si les ordinateurs étaient nés plus tôt ?

R. (anglais) On ne peut pas accuser l’ATP ! Les choses arrivent en leur temps. Le classement est apparu en 1970, 71. J’avais eu de bons résultats et j’aurais pu être 6e, 4e ou 10e. Le problème est que lorsque le classement est intervenu, je me suis blessé, en 1072, à l’épaule. Une blessure grave qui a nécessité une opération. A l’époque, ils n’avaient pas ces arthroscopies qui leurs permettent de faire un travail d’horloger. Cette blessure m’a ralenti, et lorsque le classement est sorti, j’étais 29e environ. Voilà l’explication. Avant, j’aurais été 5e ou 6e, pas de problème.

Q. (anglaise) Puis-je ajouter, pour que ce soit retranscrit, que vous avez oublié de citer un nouveau sponsor italien qui est ici pour la première fois : Valmora. Comme vous avez nommé les sponsors, peut-être faudrait-il les ajouter ?

R. (anglais) On peut ajouter Valmora. Mais vous savez comment ça se passe avec les sponsors. Vous citez les principaux partenaires, mais si vous commencez à en ajouter un, il faut ajouter tous les autres. J’ai pensé qu’il serait intéressant pour les journalistes de connaitre les trois principaux partenaires, mais Valmora aussi bien sûr.

Q. J’ai compris, désolé.

R. (anglais) Tout va bien. Nous apprécions votre relation avec Valmora.

Merci beaucoup.

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