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ROLEX MONTE-CARLO MASTERS


April 11, 2022


Arthur Rinderknech


Principauté de Monaco

Conférence de presse


F. FOGNINI/A. Rinderknech

7/5, 4/6, 6/3

Interview de ARTHUR RINDERKNECH

Q. Le match était serré. Il y a eu des bons et des mauvais moments. Comment avez-vous vécu ce match ?

R. Dans l’ensemble, c’était un bon match. Il m’a prouvé que j’étais déjà en forme pour jouer sur terre battue. Pour un premier match sur terre, il était correct pour la plus grande partie, mais il y a eu deux moments de relâchement qui m’ont couté le match. Sinon, je ne dirais pas que j’étais meilleur que lui, ce serait prétentieux, mais au moins j’avais le sentiment de contrôler le jeu. Malheureusement, pour 10% du match, j’ai eu du moins bon, il a pu revenir, et ces moments m’ont couté direct les deux sets que j’ai perdus.

Q. , Nous connaissons votre cousin ici, je l’ai vu jouer la Coupe Davis, et comme vous, j’ai joué au « College » il y a longtemps, je connais votre parcours. Que vous a apporté le « College », de l’expérience ? Cette expérience a-t-elle une influence sur votre carrière aujourd’hui ?

R. C’est une question très large, mais le College m’a surtout permis de gagner du temps. Je n’ai pas dû commencer à 18 ans alors que je n’étais pas assez bon ni assez mûr professionnellement pour être sur le circuit. Mais j’ai eu la maturité d’y réfléchir et j’ai décidé d’aller aux Etats-Unis, un très bon choix. Cela m’a donné du temps, et j’ai un diplôme maintenant qui est une sécurité pour mon avenir. Je peux jouer tranquille, sachant ce que j’ai. Je commence à 22 ou 23 ans au lieu de 18 ans, cela m’aide à passer les étapes plus facilement. J’ai pu faire l’expérience d’autres choses que le tennis professionnel. A mon avis, tout joueur qui n’est Top 10 en junior devrait aller au College. C’est une opinion très tranchée. A moins que vous soyez Alcaraz ou Sinner, ou si vous être dans les tous meilleurs juniors, vous devez aller au College aux Etats-Unis. Car si vous êtes moins bien classé en junior, il y a beaucoup d’incertitudes quant à votre avenir dans le tennis. Même des joueurs classés 10, 13 ou même 8 ont disparu du tennis professionnel par la suite. Il y en a des centaines. D’autres se perdent dans les Futures pendant des années. Je leur conseille donc d’aller aux Etats-Unis. Bien sûr, chacun a ses propres objectifs. S’ils veulent faire la fête, ils peuvent aussi la faire aux Etats-Unis, mais ils vont oublier le tennis. C’est à eux de décider de leur avenir. Ils doivent prendre le contrôle de leur vie, ne plus dépendre de papa et maman ou du coach comme en junior. Une opinion tranchée, mais il faut bien sûr avoir de bons conseils de personnes expérimentées qui savent de quoi elles parlent, pour bien choisir son College.

Q. Et vous, comment avez-vous choisi votre College ?

R. Je n’étais pas assez bon pour être sponsorisé par la FFT, j’ai reçu de bons conseils et j’ai eu la chance de faire confiance à ces personnes. Je suis tombé sur une très bonne université, Texas A&M. Ils m’ont permis de progresser car ils connaissent bien le tennis.

Q. Vous avez un jeu différent d’Opelka, que pensez-vous de votre jeu ? Votre style est-il différent ?

R. Effectivement, mon jeu est différent. J’ai un bon service, mais aujourd’hui, il n’a pas bien marché, mais cela ne m’a pas empêché de rivaliser avec un spécialiste de la terre battue qui a remporté de grands tournois. Je ne suis pas dépendant de mon service, ce qui n’est pas le cas d’Opelka ou Isner.

Q. Vous avez un classement intermédiaire. Les Masters 1000 arrivent, et vous ne pouvez pas toujours être dans le tableau final. Allez-vous jouer les qualifications ou les challengers ?

R. Mon programme est clair. Barcelone, Estoril : deux tableaux finaux. Puis Madrid, Rome, en qualifications si je suis en qualifications, ou dans le tableau final, si je suis pris dans le tableau final. Je ne vais pas me compliquer la vie. On verra pour la suite et pour Roland Garros.

Q. Des choix doivent ĂŞtre faits, on a vu celui de Richard.

R. Je ne connais pas le classement de Richard cette semaine, mais chacun prend ses décisions. Nous n’avons pas le même classement et de mon côté, j’ai besoin de jouer contre les meilleurs joueurs. Je peux jouer des matches de moindre niveau pour engranger quelques victoires et me rassurer, mais ce n’est pas ce dont j’ai besoin en ce moment. J’ai confiance dans le travail que je fais avec mon coach. J’ai besoin plutôt de joueur les bons joueurs pour progresser dans ce domaine.

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